Cette consultation s’adresse aux doctorantes et doctorants attaché•es à l’école doctorale SLTC de l’Université de Lorraine. Elle est à l’initiative des représentant•es au conseil de l’école doctorale SLTC ainsi que l’association Par(en) thèse SLTC. Le questionnaire ne prend pas plus de 5 minutes. Il est ouvert jusqu’au vendredi 17 mai.
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Cette consultation s’adresse aux doctorantes et doctorants attachés à l’école doctorale SLTC de l’Université de Lorraine. Elle est à l’initiative des représentant.es au conseil de l’école doctorale SLTC ainsi que l’association Par(en)thèse SLTC.
Le questionnaire concourt à mieux connaître vos habitudes de travail, et plus précisément votre/vos lieu(x) de travail. On s’intéresse en particulier aux usages des espaces dédiés au travail des doctorants au sein des campus.
Comme vous le savez peut-être, il existe des espaces collectifs mis à disposition des doctorant.es à Nancy (Espace Thèse « Esthète », salle A 055, sur le campus LSH) et à Metz (4 Open Space situés au premier étage de l’Espace Rabelais, campus du Saulcy).
Le questionnaire, anonyme, ne prend pas plus de 5 minutes et pourrait s’avérer déterminant pour l’avenir des conditions de travail des doctorants.
Notez qu’il est ouvert jusqu’au vendredi 17 mai.
Merci par avance pour vos contributions !
Origine de l’étude
Les open space des campus de Nancy et Metz
À la suite de l’assemblée générale de l’association en décembre 2023 et à l’arrivée de deux doctorant•es en première année, la nouvelle équipe s’est appropriée le fonctionnement de l’association. L’occasion d’actualiser les outils numériques et les locaux associatifs sur le campus LSH de Nancy. Les locaux sont situés juste à côté de la salle « Esthète », un open space dédié aux doctorant•es de l’Université de Lorraine.
C’est à cette même période qu’un grand déménagement a été organisé sur le campus du Saulcy à Metz, pour s’installer dans l’espace Rabelais. Une aile de l’UFR SHS de Metz entièrement rénovée. Au premier étage de ce bâtiment, quatre grands open space colorés sont également dédiés aux doctorant•es de l’Université.
Une prise de conscience des conditions de travail
L’équipe a pris progressivement conscience des conditions de travail des doctorant•es en observant en particulier deux aspects. D’un côté, les usages relativement limités de la salle Esthète à Nancy. Et, de l’autre côté, le cycle d’installation et d’adaptation des nouveaux espaces du bâtiment Rabelais — qui a eu son lot d’ajustements — avec de nombreuses questions longuement restées en suspens.
En effet, historiquement, les conditions de travail des doctorantes et des doctorants en sciences humaines semblent :
- très hétérogènes selon le type de financement, souvent précaire, impliquant d’aménager son rythme de travail et pas toujours compatible avec des horaires de bureau classique ;
- inégales selon la taille et les moyens dont dispose le laboratoire, que ce soit en terme d’espace physique disponible, mais également d’équipement ;
Nous observons également ce qui semble un manque d’information et de sensibilisation sur :
- Les types d’espaces de travail disponible (bureau, open space, BU, studothèque, etc.) ;
- Les modalités d’accès à des salles de réunion, en accès libre, ou bien sur demande (i.e., une clé ou un badge à l’accueil) ou réservation (i.e., sur les sites des BU) ;
- Une acculturation aux codes et bonnes pratiques de travail dans un open space (i.e., utiliser des écouteurs/casque, éviter ou s’isoler pour entamer une discussion bruyante, désactiver le mode vibreur de son smartphone, se déplacer au lieu d’interpeller quelqu’un, etc.) ;
- La mise à disposition d’équipements spécifiques : casier individuel, machine à café et bouilloire (parfois mis à disposition par un laboratoire ou mutualisé entre les personnes d’un même espace), coin cuisine, imprimante, panneau d’affichage, etc.
Élément déclencheur : un appel à l’aide
Comme on l’a dit, les conditions de travail varient substantiellement entre laboratoires de l’ED SLTC.
Lors de la réunion du Conseil Scientifique de l’école doctorale du 21 mars, une demande émanant des représentants doctorants d’un laboratoire à lancer une demande de médiation suite à l’annonce d’une réorganisation de leur espace de travail. Un groupe de travail a été constitué dans ce cadre, pour permettre aux doctorant•es d’affiner leurs revendications.
En parallèle, l’association Par(en)thèse SLTC à commencer à se mobiliser pour organiser une étude sur les campus de Nancy et Metz, afin de récolter des témoignages et de mieux quantifier la teneur des disparités entre laboratoire. L’objectif étant d’en fournir une synthèse, avec des recommandations, auprès du conseil scientifique de l’école doctorale.
Mise en place d’un groupe de travail
C’est naturellement que ces deux initiatives se sont croisées et nous avons commencé à mutualiser nos efforts lors d’une réunion de coordination le 25 avril.
Ce questionnaire, en cours de diffusion, constitue l’une des actions de récolte de données auprès des personnes concernées : les doctorant•es de l’ED SLTC.
Déroulement de l’étude
- Contacter des (représentant•es de) doctorant•es de chaque laboratoire de l’ED SLTC pour sonder les conditions de travail ;
- Lancement d’un sondage par les représentant•es des doctorant•es et le groupe de travail constitué ;
- Créer une data visualisation de synthèse (nombre de doctorants, type de contrat, type d’espace de travail, équipements disponibles, etc.) ;
- Articuler cela avec les salles de travail mises à disposition par l’UL (Esthète à Nancy et les Open Space de l’Espace Rabelais à Metz) ;
- Proposer une série d’aménagements possible à remonter au Conseil Scientifique de l’ED SLTC.
Contribuer au groupe de travail
Contactez-nous pour vous joindre à cette initiative, portée conjointement par les représentant•es doctorant•es au conseil scientifique de l’ED SLTC et l’association Par(en)thèse SLTC.
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